L’omerta de l’instrument

Momar SOURANG exprime sa vision : « La vie nous cache ses secrets, derrière ce flou ; nous n’imaginons pas, que nous sommes perpétuellement dépendants de ses surprises. On ne peut jamais traverser la lumière du jour sans pour autant franchir l’obscurité de la nuit. Devrais-je accepter tout de ce destin ? Et « SI » les scies du montent ne faisaient que seulement monter, aurions alors la certitude de vaincre les perplexités du jour ? Momar SOURANG se place dans la peau : « Un innocent de la vie trouve réconfort dans un milieu hyper défavorisé, abandonné par sa mère : une exilée par la nécessité économique se trouve en constance avec  une génération d’enfants élevés au dur par  la grand-mère)… ; puis la légitimité remporte sur son parcours ; ce dernier l’enfant est alors seul à surmonter les turpitudes d’une vie, dont l’espoir on organise pour lu son avenir… Enfin l’imagination le mène avec la débrouille à sortir de ce carcan malsain. Alors une réussite après avoir choisi la ROSE, mais là encore celle-ci possède des épines…Le firmament…, l’environnement, un choix presqu’obligé qui le sied avec le temps ; puis la réalité… L’OMERTA !