- Format
- Broché
- EAN13
- 9782749116631
- ISBN
- 978-2-7491-1663-1
- Éditeur
- Le Cherche Midi
- Date de publication
- 18/03/2010
- Collection
- Collection Les pensées
- Nombre de pages
- 211
- Dimensions
- 18,1 x 11,2 x 1,9 cm
- Poids
- 180 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 818.502
- Fiches UNIMARC
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La révolution marxienne par le rire.
Figures légendaires de l'humour, les Marx Brothers sont passés à la postérité pour leur sens inégalé de la dérision et de la provocation. Pour eux, l'humour ne faisait jamais relâche. Que ce soit à la ville ou à la scène, les répliques fusaient sans discontinuer. Ils traquaient avec délectation et acharnement la bonne conscience et le puritanisme de leurs contemporains. Les pensées réunies ici sont tirées de dialogues de films, d'extraits de correspondance, d'articles, d'émissions radiophoniques ou de télévision. La folie des frères Marx y éclate à chaque page. Avec leur génie et leur démesure, ils nous administrent mieux que personne la preuve définitive que l'impertinence peut être élevée au rang d'art véritable.
Je ne bois jamais. Sauf si un autre paie.
Nous avons payé l'arbitre pour qu'il te déclare vainqueur ; nous avons payé ton adversaire pour qu'il te laisse gagner. Le reste dépend de toi.
- Comment faites-vous pour éviter la chute des cheveux ?
- Je fais un pas de côté.
- Le propriétaire a encore téléphoné. Il veut que vous lui payiez son loyer.
- Moi, je devrais payer son loyer ? Je n'arrive déjà pas à payer le mien.
Figures légendaires de l'humour, les Marx Brothers sont passés à la postérité pour leur sens inégalé de la dérision et de la provocation. Pour eux, l'humour ne faisait jamais relâche. Que ce soit à la ville ou à la scène, les répliques fusaient sans discontinuer. Ils traquaient avec délectation et acharnement la bonne conscience et le puritanisme de leurs contemporains. Les pensées réunies ici sont tirées de dialogues de films, d'extraits de correspondance, d'articles, d'émissions radiophoniques ou de télévision. La folie des frères Marx y éclate à chaque page. Avec leur génie et leur démesure, ils nous administrent mieux que personne la preuve définitive que l'impertinence peut être élevée au rang d'art véritable.
Je ne bois jamais. Sauf si un autre paie.
Nous avons payé l'arbitre pour qu'il te déclare vainqueur ; nous avons payé ton adversaire pour qu'il te laisse gagner. Le reste dépend de toi.
- Comment faites-vous pour éviter la chute des cheveux ?
- Je fais un pas de côté.
- Le propriétaire a encore téléphoné. Il veut que vous lui payiez son loyer.
- Moi, je devrais payer son loyer ? Je n'arrive déjà pas à payer le mien.
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