- EAN13
- 9782749163222
- Éditeur
- Cherche midi (réédition numérique FeniXX)
- Date de publication
- 1998
- Collection
- Amor fati
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Sur la planète des sentiments
Portraits littéraires (d'Emmanuel Berl à Stefan Zweig)
François Bott
Cherche midi (réédition numérique FeniXX)
Amor fati
Livre numérique
Notre époque proscrit les « états d’âme ». Elle nous conseille de les réprimer
ou de les dissimuler soigneusement. Défense de flâner, de rêver, de s’émouvoir
! Par bonheur, il reste la littérature. C’est la « réserve » ou le dernier
refuge de la délicatesse et de l’affectivité. C’est « le cœur d’un monde sans
cœur »... On trouvera dans ce livre cinquante-cinq portraits d’écrivains
contemporains qui se promènent sur la planète des sentiments. D’Emmanuel Berl
à Stefan Zweig, en passant par Tristan Bernard, Antoine Blondin, Henri Calet,
Cioran, Jean Cocteau, Colette, Léon-Paul Fargue, Élie Faure, Francis Scott
Fitzgerald, Jean Giraudoux, André Hardellet, Valery Larbaud, Jacques Laurent,
Paul Morand, Jean Paulhan, Henri-Pierre Roché, Roger Vailland, Paul Valéry,
Léon Werth et Marguerite Yourcenar. Ces gens nous démontrent que la
littérature est seulement soucieuse de la couleur des journées, des climats
qui s’annoncent, des amours qui passent et des silhouettes qui s’éloignent.
Afin que « toutes les choses d’ici-bas soient murmurées une fois dans l’ombre,
une fois encore sur des lèvres tièdes ».
ou de les dissimuler soigneusement. Défense de flâner, de rêver, de s’émouvoir
! Par bonheur, il reste la littérature. C’est la « réserve » ou le dernier
refuge de la délicatesse et de l’affectivité. C’est « le cœur d’un monde sans
cœur »... On trouvera dans ce livre cinquante-cinq portraits d’écrivains
contemporains qui se promènent sur la planète des sentiments. D’Emmanuel Berl
à Stefan Zweig, en passant par Tristan Bernard, Antoine Blondin, Henri Calet,
Cioran, Jean Cocteau, Colette, Léon-Paul Fargue, Élie Faure, Francis Scott
Fitzgerald, Jean Giraudoux, André Hardellet, Valery Larbaud, Jacques Laurent,
Paul Morand, Jean Paulhan, Henri-Pierre Roché, Roger Vailland, Paul Valéry,
Léon Werth et Marguerite Yourcenar. Ces gens nous démontrent que la
littérature est seulement soucieuse de la couleur des journées, des climats
qui s’annoncent, des amours qui passent et des silhouettes qui s’éloignent.
Afin que « toutes les choses d’ici-bas soient murmurées une fois dans l’ombre,
une fois encore sur des lèvres tièdes ».
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