- EAN13
- 9782213669892
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 26/09/2007
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Coup de tonnerre dans les Corbières
Le sang de la vigne, tome 17
Jean-Pierre ALAUX, Noël Balen
Fayard
Livre numérique
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Aide EAN13 : 9782213669892
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Luc Marsaint et Louis Toureil, fondateurs des éditions de la Gorgone, une
petite maison de publications régionalistes située à Peyrepertuze, ont
retrouvé des textes de Benjamin Cooker rédigés en feuilleton en 1975 et 1976
dans l’édition dominicale de l’Echo des Corbières. L’œnologue était alors âgé
de 21 ans et n’a pas gardé un souvenir très précis de ces écrits de jeunesse.
Il reçoit une proposition d’édition de ses textes, les relit avec émotion et
en avise son éditeur Claude Nithard, qui donne son accord. Cooker accepte de
rédiger une longue préface et propose de suivre à nouveau son ancien périple
pour étayer ses commentaires. Il emmène son assistant Virgile dans les bagages
et s’installe dans un hôtel de Durban-Corbières, sous un ciel menaçant. Mais
Jérome Séverino, un des principaux auteurs du catalogue des éditions de la
Gorgone, est retrouvé écrasé par un moellon lors du glissement de terrain qui
a fissuré sa maison. Pour honorer la mémoire de leur auteur, Marsaint et
Toureil veulent poursuivre son combat et fédérer ses partisans, alors que les
viticulteurs de l’appellation songent avant tout à panser les plaies du
vignobles. Tiraillés entre la bonne foi vindicative des éditeurs et le courage
de tous les viticulteurs du pays, Cooker et Virgile (eux-mêmes animés par un
léger différend idéologique sur la position à tenir dans ce conflit) essaient
d’adopter une attitude neutre, particulièrement difficile à tenir. D’autant
plus que l’autopsie de Géronimo et plusieurs indices viennent bientôt réfuter
la thèse de l’accident et confirmer qu’il a bel et bien été assassiné
petite maison de publications régionalistes située à Peyrepertuze, ont
retrouvé des textes de Benjamin Cooker rédigés en feuilleton en 1975 et 1976
dans l’édition dominicale de l’Echo des Corbières. L’œnologue était alors âgé
de 21 ans et n’a pas gardé un souvenir très précis de ces écrits de jeunesse.
Il reçoit une proposition d’édition de ses textes, les relit avec émotion et
en avise son éditeur Claude Nithard, qui donne son accord. Cooker accepte de
rédiger une longue préface et propose de suivre à nouveau son ancien périple
pour étayer ses commentaires. Il emmène son assistant Virgile dans les bagages
et s’installe dans un hôtel de Durban-Corbières, sous un ciel menaçant. Mais
Jérome Séverino, un des principaux auteurs du catalogue des éditions de la
Gorgone, est retrouvé écrasé par un moellon lors du glissement de terrain qui
a fissuré sa maison. Pour honorer la mémoire de leur auteur, Marsaint et
Toureil veulent poursuivre son combat et fédérer ses partisans, alors que les
viticulteurs de l’appellation songent avant tout à panser les plaies du
vignobles. Tiraillés entre la bonne foi vindicative des éditeurs et le courage
de tous les viticulteurs du pays, Cooker et Virgile (eux-mêmes animés par un
léger différend idéologique sur la position à tenir dans ce conflit) essaient
d’adopter une attitude neutre, particulièrement difficile à tenir. D’autant
plus que l’autopsie de Géronimo et plusieurs indices viennent bientôt réfuter
la thèse de l’accident et confirmer qu’il a bel et bien été assassiné
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