- EAN13
- 3328140025033
- Éditeur
- Des femmes-Antoinette Fouque
- Date de publication
- 05/05/2022
- Collection
- La Bibliothèque des voix
- Langue
- français
- Langue d'origine
- portugais
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
La femme qui a tué les poissons et 3 autres contes
et autres contes
Clarice Lispector
Des femmes-Antoinette Fouque
La Bibliothèque des voix
Livre numérique
Rappelant les légendes traditionnelles et les contes initiatiques, les cinq
histoires de ce recueil mêlent le monde de l’enfance aux destins d’animaux.
Ces derniers se voient pris dans un tourbillon d’événements aussi anodins que
mystérieux, inspirés de la vie quotidienne. Dans un mélange d’humour et de
simplicité, d’ironie et d’amour maternel, l’illustre écrivaine brésilienne
écrit pour ses fils Paulo et Pedro, et à travers eux pour tous les enfants de
la Terre, avec à ses côtés leur chien Ulysse, qui saute joyeusement de la
réalité à la fiction. « Parce qu’au début et au milieu je vais vous raconter
des histoires sur les animaux que j’ai eus, pour vous montrer que je ne
pourrais pas avoir tué les poissons autrement que sans le faire exprès. J’ai
bon espoir qu’à la fin de ce livre vous me connaissiez mieux et que vous
m’accordiez le pardon que je demande pour la mort de deux “tyrougets” – c’est
comme ça qu’on les appelait à la maison, “tyrougets”. » C. L.
histoires de ce recueil mêlent le monde de l’enfance aux destins d’animaux.
Ces derniers se voient pris dans un tourbillon d’événements aussi anodins que
mystérieux, inspirés de la vie quotidienne. Dans un mélange d’humour et de
simplicité, d’ironie et d’amour maternel, l’illustre écrivaine brésilienne
écrit pour ses fils Paulo et Pedro, et à travers eux pour tous les enfants de
la Terre, avec à ses côtés leur chien Ulysse, qui saute joyeusement de la
réalité à la fiction. « Parce qu’au début et au milieu je vais vous raconter
des histoires sur les animaux que j’ai eus, pour vous montrer que je ne
pourrais pas avoir tué les poissons autrement que sans le faire exprès. J’ai
bon espoir qu’à la fin de ce livre vous me connaissiez mieux et que vous
m’accordiez le pardon que je demande pour la mort de deux “tyrougets” – c’est
comme ça qu’on les appelait à la maison, “tyrougets”. » C. L.
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