Une femme battante (roman sentimental), Editions La lettrine Culture
EAN13
9791090932029
Éditeur
Editions La lettrine Culture
Date de publication
Collection
Blanche
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Une femme battante (roman sentimental)

Editions La lettrine Culture

Editions La lettrine Culture

Blanche

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9791090932029
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Sissie est une jeune orpheline qui rêve de devenir Chanteuse, mais elle devra
grandir et persévérer pour devenir une diva ! Sans oublier le retour agaçant
de sa rivale, l'ex de son futur mari, une fille insupportable... Les problèmes
s'accumulent : la vie du couple est en balance, le voisin est au courant, la
belle-mère s'y ingère, y compris les paparazzis... Un roman mené avec beaucoup
d humour, qui mêle jalousie et persiflage.

Biographie de l'auteur :

Née en 1984, Divine Kanza est éditrice des éditions La lettrine Culture et
Journaliste littéraire du magazineLa lettrine Culture, mais elle reste avant
tout une auteure. Son style d'écriture est cinématographique, loufoque, avec
plein d'humour. Elle trouve sa place dans tous les registres littéraires.

Extrait de Une femme battante :

Il me répond :
— Que veux-tu que je fasse ? Après tout, c’est elle qui a cherché.
Elle ne voulait pas me laisser tranquille, je lui ai fait comprendre à
plusieurs reprises que je ne voulais plus d’elle. Elle m’avait trompé avec Guy
Roger, un tennisman. Il l’a baisé, ensuite il l’a dupée et ne s’est pas gêné,
lui non plus. Pour lui, c’est normal. Tout le monde est au courant de cette
histoire. Et je suppose qu’il y en a eu d’autres ! Alors, cesse de m’en parler
!
Aujourd’hui, je viens d’apprendre beaucoup de choses, le journal m’en a appris
aussi. Je suis maintenant riche en culture nymphomane, pour ne pas dire
culture générale.

Chapitre 7 :

À ce que je sache, Evans et moi n’avons pas encore d’enfants !
Peut-être est-ce pour nous donner des idées ?
Néanmoins, j’ai un coup de cœur pour l’un de ces prénoms et
je veux le garder précieusement en tête.

Le lendemain, dimanche, Evans part travailler, pour des raisons
exceptionnelles, et moi je garde la maison. Furieuse, je brise
les verres, je sépare ses objets des miens – vêtements, chaussures
et autres. Nous n’avons plus un objet en commun.
Quand il rentre, je lui dis, sur un ton brusque :
— Tu t’es bien amusé hier soir, hein !

Chapitre 10 :

Je m’achète aussi une tenue pourpre, afin d’être en harmonie avec le piano. Je
prépare tout pour la date prévue.
Mon album est déjà prêt, des titres composés en anglais, cette fois-ci,
facteur d’originalité. Je ne compose que sept titres dans l’album, au lieu de
douze, car je ne maîtrise pas assez l’anglais. Je peux citer des titres comme
: Come back, Bring me water, Tell me
again, Decipher the code, Waltz, Receive my call, Remember you.
Je reviens auprès de Cyprien pour lui offrir une des reproductions de l’album
et il en est ravi.
Le même jour, il m’appelle pour me donner ses impressions.
Il vient de l’écouter.
Selon lui, dans l’ensemble, l’album est formidable, mais en revanche, il y a
deux titres qu’il aime moins que d’autres : ce sont
Receive my call et Decipher the code.
Au téléphone, il bavarde beaucoup. Il me dit que ces deux chansons ne l’ont
pas énormément touché. Les paroles ne sont pas
assez captivantes. Et puis, il n’aime pas le rythme choisi.
Il rajoute :
— Je suis désolé de t’avoir dit la vérité. Excuse-moi.
Je sais pourquoi il n’apprécie pas ces titres, même s’il veut
cacher la vraie raison. C’est sûrement parce qu’ils lui rappellent de très
mauvais souvenirs. La chanson Receive my call, c’est parce que de nombreux
patrons ont refusé de recevoir ses appels dérangeants. Et Decipher the code,
c’est le fait que ses amis se sont tordu le doigt devant son appartement,
avant d’être transférés en ambulance, direction bloc opératoire. Ils n’ont pas
pu déchiffrer le ode et leurs empreintes ont été retrouvées, le lendemain, sur
le fameux digicode.
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