- EAN13
- 9791034403622
- Éditeur
- Presses Universitaires de Strasbourg
- Date de publication
- 12/04/2023
- Collection
- Configurations littéraires
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Cocteau, l’opium aux trousses
Correspondance inédite et illustrée avec le poète (1928-1929)
Georges Greciano
Presses Universitaires de Strasbourg
Configurations littéraires
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9791034403622
- Fichier PDF, libre d'utilisation
- Fichier EPUB, libre d'utilisation
- Fichier Mobipocket, libre d'utilisation
- Lecture en ligne, lecture en ligne
8.99
Autre version disponible
En 1928-1929, Jean Cocteau, que son addiction à l’opium conduit à un
internement dans une clinique parisienne, répond à la demande d’un jeune
prince roumain qui voudrait devenir écrivain. Il lui adresse une série de dix-
neuf lettres, parfois ornées de dessins. Une amitié épistolaire de plus d’une
année s’ensuit, interrompue dans la douleur. D’abord diplomate et spécialiste
d’Europe centrale, puis assistant parlementaire, Georges Greciano (1906-1976)
dut attendre la mort de Cocteau pour, au cours de l’hiver 1964, s’ouvrir sur
cet épisode qui avait marqué sa jeunesse : il en fit l’objet d’un récit
enrichi des précieuses lettres échangées, qu’il intitula Cocteau, l’opium aux
trousses. Il s’éteignit cependant en 1976 sans avoir confié son document à un
éditeur. Il fallut presque un demi-siècle, et les efforts de son fils
Rodolphe, pour que cette correspondance soit enfin publiée. Augmenté de ces
lettres inédites, le récit de Georges Greciano offre un document rare sur
l’intimité du poète, et, plus largement, donne à voir tout un pan de
l’histoire culturelle européenne au xxe siècle.
internement dans une clinique parisienne, répond à la demande d’un jeune
prince roumain qui voudrait devenir écrivain. Il lui adresse une série de dix-
neuf lettres, parfois ornées de dessins. Une amitié épistolaire de plus d’une
année s’ensuit, interrompue dans la douleur. D’abord diplomate et spécialiste
d’Europe centrale, puis assistant parlementaire, Georges Greciano (1906-1976)
dut attendre la mort de Cocteau pour, au cours de l’hiver 1964, s’ouvrir sur
cet épisode qui avait marqué sa jeunesse : il en fit l’objet d’un récit
enrichi des précieuses lettres échangées, qu’il intitula Cocteau, l’opium aux
trousses. Il s’éteignit cependant en 1976 sans avoir confié son document à un
éditeur. Il fallut presque un demi-siècle, et les efforts de son fils
Rodolphe, pour que cette correspondance soit enfin publiée. Augmenté de ces
lettres inédites, le récit de Georges Greciano offre un document rare sur
l’intimité du poète, et, plus largement, donne à voir tout un pan de
l’histoire culturelle européenne au xxe siècle.
S'identifier pour envoyer des commentaires.