- EAN13
- 9782342162295
- Éditeur
- Société des écrivains
- Date de publication
- 13/07/2018
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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L'Émoi de l'âme, les mots du coeur
Cent cinquante et un poèmes salvateurs
Manu Edouard Moulin
Société des écrivains
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782342162295
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« Celles et ceux qui nous jettent un opprobre assassin Qu'ont-ils plus en
prières et oraisons sans fin ? Sont-ils en droit de quête au sein de leur
jardin Donnant à leur bréviaire un message divin ? De ces vers décriés et
parfois censurés Il nous faut être fiers, et ne jamais laisser Les penseurs
atrophiés prétendre les brûler Et nous jeter la pierre de la moralité. Ô
poètes amis, doux compagnons de plume, N'ayez point de remords, surtout point
d'amertume À coucher chaque nuit, et plus que de coutume, Ces mots qui vous
font tort en vos œuvres anthumes. » À nouveau, tout comme dans son premier
recueil De la brume à la plume, Manu Edouard Moulin dépose ici ses émotions,
ses impressions, ses sentiments, ses troubles ; tout ce qui touche son être et
le laisse souvent tant à vif qu'il lui est impératif d'écrire pour ne pas
sombrer. La poésie est une île, un refuge où il trouve apaisement et
réconfort. Modeste poète, fantasque, indiscipliné, il recherche, loin des
règles de l'art que les maîtres professent, un nécessaire besoin de partager
sans contrainte tout « l'émoi de l'âme, les mots du cœur ». Avec, au-delà de
l'humilité qui le caractérise, un talent certain à dépeindre nos humeurs
vagabondes.
prières et oraisons sans fin ? Sont-ils en droit de quête au sein de leur
jardin Donnant à leur bréviaire un message divin ? De ces vers décriés et
parfois censurés Il nous faut être fiers, et ne jamais laisser Les penseurs
atrophiés prétendre les brûler Et nous jeter la pierre de la moralité. Ô
poètes amis, doux compagnons de plume, N'ayez point de remords, surtout point
d'amertume À coucher chaque nuit, et plus que de coutume, Ces mots qui vous
font tort en vos œuvres anthumes. » À nouveau, tout comme dans son premier
recueil De la brume à la plume, Manu Edouard Moulin dépose ici ses émotions,
ses impressions, ses sentiments, ses troubles ; tout ce qui touche son être et
le laisse souvent tant à vif qu'il lui est impératif d'écrire pour ne pas
sombrer. La poésie est une île, un refuge où il trouve apaisement et
réconfort. Modeste poète, fantasque, indiscipliné, il recherche, loin des
règles de l'art que les maîtres professent, un nécessaire besoin de partager
sans contrainte tout « l'émoi de l'âme, les mots du cœur ». Avec, au-delà de
l'humilité qui le caractérise, un talent certain à dépeindre nos humeurs
vagabondes.
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