- EAN13
- 9782081436138
- Éditeur
- Arthaud
- Date de publication
- 24/04/2019
- Collection
- La Traversée des mondes
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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«J’ai adopté les grands espaces australiens depuis dix ans maintenant. J’aime
ce pays-continent, où je travaille avec les enfants aborigènes, ces jeunes
démunis, désœuvrés mais débordants de vie. À ces oubliés du bout du monde,
j’ai donné le meilleur de moi-même, ils m’ont appris leurs coutumes, leurs
traditions, et plus important que tout, leur compréhension intime de la
nature. Grâce à eux, je peux devenir écorce, feuille, branche qui craque.
Aujourd’hui, je suis cette terre rouge que je foule pieds nus le plus souvent
et que j’aime tant, j’appartiens à ce décor sauvage et parfumé. Cette aventure
a commencé le jour où, une communauté aborigène m’a invitée à participer à une
course de chevaux, moi seule femme cavalière, blanche de surcroît. En plein
désert australien, sous la fournaise, je remportais la course, devant un
public mâle, abasourdi qu’une femme jeune les devance. J’ai rencontré ce jour-
là d’autres déshérités, les brumbies, ces chevaux australiens redevenus
sauvages, que nombre d’Australiens trouvent invasifs et n’hésitent pas à
éliminer. Lorsque j’ai décidé de traverser seule ce continent sauvage, en
empruntant les 5 000 kilomètres du National Trail, je savais que trois
brumbies m’accompagneraient. Ces compagnons d’aventure et de solitude, j’ai dû
les dresser moi-même. Cette fois c’était certain, je pouvais partir au loin,
oser l’aventure, vivre ce rêve fou, cette traversée sauvage.» Partie il y a
plus de dix ans pour des vacances en Australie, Aliénor le Gouvello,
passionnée d’équitation, est tombée sous le charme de l’outback australien.
ce pays-continent, où je travaille avec les enfants aborigènes, ces jeunes
démunis, désœuvrés mais débordants de vie. À ces oubliés du bout du monde,
j’ai donné le meilleur de moi-même, ils m’ont appris leurs coutumes, leurs
traditions, et plus important que tout, leur compréhension intime de la
nature. Grâce à eux, je peux devenir écorce, feuille, branche qui craque.
Aujourd’hui, je suis cette terre rouge que je foule pieds nus le plus souvent
et que j’aime tant, j’appartiens à ce décor sauvage et parfumé. Cette aventure
a commencé le jour où, une communauté aborigène m’a invitée à participer à une
course de chevaux, moi seule femme cavalière, blanche de surcroît. En plein
désert australien, sous la fournaise, je remportais la course, devant un
public mâle, abasourdi qu’une femme jeune les devance. J’ai rencontré ce jour-
là d’autres déshérités, les brumbies, ces chevaux australiens redevenus
sauvages, que nombre d’Australiens trouvent invasifs et n’hésitent pas à
éliminer. Lorsque j’ai décidé de traverser seule ce continent sauvage, en
empruntant les 5 000 kilomètres du National Trail, je savais que trois
brumbies m’accompagneraient. Ces compagnons d’aventure et de solitude, j’ai dû
les dresser moi-même. Cette fois c’était certain, je pouvais partir au loin,
oser l’aventure, vivre ce rêve fou, cette traversée sauvage.» Partie il y a
plus de dix ans pour des vacances en Australie, Aliénor le Gouvello,
passionnée d’équitation, est tombée sous le charme de l’outback australien.
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