- Format
- Poche
- EAN13
- 9782020505628
- ISBN
- 978-2-02-050562-8
- Éditeur
- Points
- Date de publication
- 04/2004
- Collection
- Points Littérature (1205)
- Nombre de pages
- 192
- Dimensions
- 18 x 11 x 1,2 cm
- Poids
- 120 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Code dewey
- 850
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
ROMAN
TOM KROMER LES VAGABONDS DE LA FAIM
" Le 4 mars 1934 paraissait chez Knopf un livre à couverture orange avec un titre aussi brutalement désespéré que son contenu : Waiting for Nothing. Le lettrage était épais et noir; la seule dédicace était tout un programme : "Pour Jolene, qui a fermé le gaz". Le livre reçut un accueil critique favorable mais clairsemé, le modeste premier tirage ne se vendant que médiocrement, ce qui n'est guère étonnant puisqu'il s'agit du plus noir et du plus brutal des livres parus durant la Dépression. Les Vagabonds de la faim exsude le même dénuement, le même ennui désespéré que la vie sans but et sans espoir qu'il décrit. Et tout ça sans discours, sans même l'hystérie qui caractérise des livres comme La Faim ou Demande à la poussière. Contrairement aux héros d'Hamsun ou de Fante, celui de Tom Kromer ne se sent pas artiste maudit à qui le monde doit la reconnaissance - juste un homme désœuvre privé de substance. Son périple est à peu de chose près celui de l'auteur. " Philippe Garnier
TOM KROMER LES VAGABONDS DE LA FAIM
" Le 4 mars 1934 paraissait chez Knopf un livre à couverture orange avec un titre aussi brutalement désespéré que son contenu : Waiting for Nothing. Le lettrage était épais et noir; la seule dédicace était tout un programme : "Pour Jolene, qui a fermé le gaz". Le livre reçut un accueil critique favorable mais clairsemé, le modeste premier tirage ne se vendant que médiocrement, ce qui n'est guère étonnant puisqu'il s'agit du plus noir et du plus brutal des livres parus durant la Dépression. Les Vagabonds de la faim exsude le même dénuement, le même ennui désespéré que la vie sans but et sans espoir qu'il décrit. Et tout ça sans discours, sans même l'hystérie qui caractérise des livres comme La Faim ou Demande à la poussière. Contrairement aux héros d'Hamsun ou de Fante, celui de Tom Kromer ne se sent pas artiste maudit à qui le monde doit la reconnaissance - juste un homme désœuvre privé de substance. Son périple est à peu de chose près celui de l'auteur. " Philippe Garnier
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