- Format
- Broché
- EAN13
- 9782804701703
- ISBN
- 978-2-8047-0170-3
- Éditeur
- Mardaga
- Date de publication
- 13/02/2014
- Collection
- ART CONTEMPORAI
- Nombre de pages
- 240
- Dimensions
- 28 x 23 x 2 cm
- Poids
- 1386 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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De la station de métro Concorde (Paris) aux favelas de Rio
L'oeuvre de Françoise Schein, artiste, architecte et urbaniste, est graphique et monumentale à la fois. Depuis 1989, elle inscrit les droits humains sur les parois des cités : voûtes de stations de métro, murs de quartiers défavorisés, places ou façades de centres culturels, de la vieille Europe au Nouveau Monde en passant par le Moyen-Orient.
Cartographe, son travail joue avec les frontières et les pays et ancre les peuples dans leur histoire.
Son travail est aussi écriture : textes des chartes de droits mis à distance, noms de lieux sur les cartes comme repères pour le voyageur-lecteur et aphorismes, enfin, dispersés en une respiration poétique.
Sa méthodologie participative associe directement les habitants à la production de ses oeuvres. Cette particularité fait de Françoise Schein un cas unique et la situe autant dans le monde de l'art et de l'architecture que dans celui de la philosophie et des droits humains.
Un beau livre dialogue
L'ouvrage s'articule en trois parties : la série des oeuvres urbaines ; la série des oeuvres participatives ; et les recherches personnelles, dessins, carnets de notes ou inspirations, que l'artiste nomme elle-même son « laboratoire de recherche ».
Le livre est traversé par un dialogue entre le critique d'art Vincent Cartuyvels et Françoise Schein. Le philosophe Jean Attali y présente les fondements conceptuels du travail de l'artiste.
La préface est de Siri Hustvedt, écrivaine et compagne de Paul Auster, que Françoise Schein a rencontrée à New York à la fin des années 1970. Elles sont depuis lors amies.
Cette monographie s'adresse à un large public et se veut accessible à tous ceux qui s'intéressent à l'art, à l'architecture et aux droits humains.
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
L'oeuvre de Françoise Schein, artiste, architecte et urbaniste, est graphique et monumentale à la fois. Depuis 1989, elle inscrit les droits humains sur les parois des cités : voûtes de stations de métro, murs de quartiers défavorisés, places ou façades de centres culturels, de la vieille Europe au Nouveau Monde en passant par le Moyen-Orient.
Cartographe, son travail joue avec les frontières et les pays et ancre les peuples dans leur histoire.
Son travail est aussi écriture : textes des chartes de droits mis à distance, noms de lieux sur les cartes comme repères pour le voyageur-lecteur et aphorismes, enfin, dispersés en une respiration poétique.
Sa méthodologie participative associe directement les habitants à la production de ses oeuvres. Cette particularité fait de Françoise Schein un cas unique et la situe autant dans le monde de l'art et de l'architecture que dans celui de la philosophie et des droits humains.
Un beau livre dialogue
L'ouvrage s'articule en trois parties : la série des oeuvres urbaines ; la série des oeuvres participatives ; et les recherches personnelles, dessins, carnets de notes ou inspirations, que l'artiste nomme elle-même son « laboratoire de recherche ».
Le livre est traversé par un dialogue entre le critique d'art Vincent Cartuyvels et Françoise Schein. Le philosophe Jean Attali y présente les fondements conceptuels du travail de l'artiste.
La préface est de Siri Hustvedt, écrivaine et compagne de Paul Auster, que Françoise Schein a rencontrée à New York à la fin des années 1970. Elles sont depuis lors amies.
Cette monographie s'adresse à un large public et se veut accessible à tous ceux qui s'intéressent à l'art, à l'architecture et aux droits humains.
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
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