- EAN13
- 9791027803354
- ISBN
- 979-10-278-0335-4
- Éditeur
- Le Castor Astral
- Date de publication
- 29/09/2022
- Collection
- POCHE POESIE (1)
- Nombre de pages
- 148
- Dimensions
- 17,6 x 11,7 x 1,1 cm
- Poids
- 127 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Il faut toujours se préparer à perdre
De Ludovic Villard
Préface de Simon Johannin
Le Castor Astral
Poche Poesie
9.00
Autre version disponible
Il faut toujours se préparer à perdre
est le recueil événement de Ludovic Villard connu sous son nom de scène de Lucio Bukowski. Une écriture percutante des bas-fonds qui rehausse la crasse humaine et sociale au rang d'objet poétique.
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Il faut toujours se préparer à perdre
est la première anthologie personnelle de Ludovic Villard. Elle réunit ici ses poèmes les plus marquants ainsi que de nombreux inédits. Sa poésie sensible et incisive oscille entre lumière et noirceur.
- Au fil des poèmes, Ludovic Villard convoque ses souvenirs et les figures des personnes qui l'inspirent et le nourrissent. Il révèle ses doutes, ses angoisses et les fantômes qui le hantent : " Ni le temps ni personne n'a tenu promesse / nous avions l'âge ne de pas douter / Puis le wagon s'éloigna, nous saluant d'un jet de fumée noire / Depuis nos pieds n'ont pas bougé. " Il dépeint ainsi avec lucidité, sagacité et une pointe d'ironie nos vies et surtout celles des oubliés, des invisibles de notre société.
est le recueil événement de Ludovic Villard connu sous son nom de scène de Lucio Bukowski. Une écriture percutante des bas-fonds qui rehausse la crasse humaine et sociale au rang d'objet poétique.
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Il faut toujours se préparer à perdre
est la première anthologie personnelle de Ludovic Villard. Elle réunit ici ses poèmes les plus marquants ainsi que de nombreux inédits. Sa poésie sensible et incisive oscille entre lumière et noirceur.
- Au fil des poèmes, Ludovic Villard convoque ses souvenirs et les figures des personnes qui l'inspirent et le nourrissent. Il révèle ses doutes, ses angoisses et les fantômes qui le hantent : " Ni le temps ni personne n'a tenu promesse / nous avions l'âge ne de pas douter / Puis le wagon s'éloigna, nous saluant d'un jet de fumée noire / Depuis nos pieds n'ont pas bougé. " Il dépeint ainsi avec lucidité, sagacité et une pointe d'ironie nos vies et surtout celles des oubliés, des invisibles de notre société.
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