- Format
- Poche
- EAN13
- 9782743622824
- ISBN
- 978-2-7436-2282-4
- Éditeur
- Rivages
- Date de publication
- 16/11/2011
- Collection
- Rivages-Noir
- Nombre de pages
- 208
- Dimensions
- 17 x 11 x 1,5 cm
- Poids
- 130 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- italien
- Fiches UNIMARC
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Les Milanais tuent le samedi
De Giorgio Scerbanenco
Traduit par Laurent Lombard
Rivages
Rivages-Noir
Milan, dans les années 1960. Duca Lamberti reçoit la visite d'Amanzio Berzaghi, employé sans histoires et ancien routier. L'homme est désespéré. Sa fille unique, qu'il élève seul depuis des années, a disparu. Cela fait cinq mois qu'il est sans nouvelles et il est à bout.
La fille d'Amanzio, Donatella Berzaghi, est une jeune femme de 28 ans un peu particulière : belle et séduisante, elle mesure près de deux mètres et pèse 95 kilos... C'est aussi une attardée mentale qui ne peut contrôler ses pulsions, attirée par tous les hommes qu'elle croise. À tel point que son père est obligé de la garder enfermée dans son appartement. Duca Lamberti commence à peine son enquête que le corps de Donatella est retrouvé calciné sous un tas de broussaille, dans un champ, près de Milan. Le père de la jeune fille est anéanti et Duca Lamberti jure de retrouver le ou les assassins de Donatella.
Le détective se lance sur la piste la plus probable : la prostitution. Débute alors une traversée du Milan interlope des années 60 avec ses réseaux clandestins de prostituées, ses petits maquereaux de pacotille venus du Sud de l'Italie et ses riches notables prêts à de folles dépenses pour accéder aux plaisirs interdits.
Avec son écriture simple et lumineuse, Gorgio Scerbanenco dresse un portrait saisissant de sa ville où règnent la corruption, la prostitution, le vice et les règlements de comptes parfois violents.
Les Milanais tuent le samedi est le dernier opus de la série Duca Lamberti. Comme les précédents, le roman a fait l'objet d'une nouvelle traduction.
« Scerbanenco a réussi à raconter la face cachée de l'Italie des années 60 d'une manière quasiment sociologique, presque anthropologique. Alors que ces années-là semblaient être celles du boom économique et du bien-être, il est parvenu d'une façon unique et magistrale à les dépeindre comme les années de l'horreur. Et si je dois, dans cent ans, expliquer à un enfant les années 60, je lui ferai lire Scerbanenco. »
Andrea G. Pinketts, Jade
« La tension de son écriture, la perfection de ses constructions, sa rage froide et amère, son réalisme social terrifiant en feraient un héritier de Goodis explorant la misère milanaise... »
Gaël Golhen, Technikart
La fille d'Amanzio, Donatella Berzaghi, est une jeune femme de 28 ans un peu particulière : belle et séduisante, elle mesure près de deux mètres et pèse 95 kilos... C'est aussi une attardée mentale qui ne peut contrôler ses pulsions, attirée par tous les hommes qu'elle croise. À tel point que son père est obligé de la garder enfermée dans son appartement. Duca Lamberti commence à peine son enquête que le corps de Donatella est retrouvé calciné sous un tas de broussaille, dans un champ, près de Milan. Le père de la jeune fille est anéanti et Duca Lamberti jure de retrouver le ou les assassins de Donatella.
Le détective se lance sur la piste la plus probable : la prostitution. Débute alors une traversée du Milan interlope des années 60 avec ses réseaux clandestins de prostituées, ses petits maquereaux de pacotille venus du Sud de l'Italie et ses riches notables prêts à de folles dépenses pour accéder aux plaisirs interdits.
Avec son écriture simple et lumineuse, Gorgio Scerbanenco dresse un portrait saisissant de sa ville où règnent la corruption, la prostitution, le vice et les règlements de comptes parfois violents.
Les Milanais tuent le samedi est le dernier opus de la série Duca Lamberti. Comme les précédents, le roman a fait l'objet d'une nouvelle traduction.
« Scerbanenco a réussi à raconter la face cachée de l'Italie des années 60 d'une manière quasiment sociologique, presque anthropologique. Alors que ces années-là semblaient être celles du boom économique et du bien-être, il est parvenu d'une façon unique et magistrale à les dépeindre comme les années de l'horreur. Et si je dois, dans cent ans, expliquer à un enfant les années 60, je lui ferai lire Scerbanenco. »
Andrea G. Pinketts, Jade
« La tension de son écriture, la perfection de ses constructions, sa rage froide et amère, son réalisme social terrifiant en feraient un héritier de Goodis explorant la misère milanaise... »
Gaël Golhen, Technikart
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