- Format
- Broché
- EAN13
- 9782843240980
- ISBN
- 978-2-84324-098-0
- Éditeur
- Empêcheurs de penser en rond
- Date de publication
- 15/06/1999
- Collection
- Les empêcheurs de penser en rond
- Nombre de pages
- 208
- Dimensions
- 21,2 x 13,5 x 1,9 cm
- Poids
- 265 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 150
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Qu'est-ce que la psychologie médicale ?
actualité et nécessité
De Guy Besancon
Empêcheurs de penser en rond
Les empêcheurs de penser en rond
La psychologie médicale a été introduite dans le cursus des études médicales en 1961. On a accolé ainsi deux termes quine se contredisent pas mais qui n'ont pas non plus de lien naturel évident entre eux. Un décryptage s'impose.
On doit, selon l'auteur, rassembler sous cette rubrique tous les faits de la pratique médicale où intervient, d'une manière ou d'une autre, un facteur psychologique : événement traumatique (deuil, rupture), relation médecin-malade. La psychologie médicale devrait donc être présente aussi bien dans les pratiques les plus banales (en médecine générale) que dans les plus sophistiquées (greffe, cancers, chronicité, approche de la mort, etc.).
L'auteur revient sur toutes les références théoriques qui peuvent être celles de la psychologie médicale : de l'épidémiologie à la psychanalyse en passant par l'œuvre de balint, le cognitivisme, la psychosomatique.
En conclusion, il signe une véritable mise en garde et une recommandation ferme : plus la médecine va continuer à évoluer, plus les problèmes relationnels entre médecin et malade seront complexes ; si elle ne veut pas se déshumaniser, elle doit prendre en compte la dimension psychologique dans sa réflexion et dans sa pratique, il convient d'y préparer les médecins de demain.
On doit, selon l'auteur, rassembler sous cette rubrique tous les faits de la pratique médicale où intervient, d'une manière ou d'une autre, un facteur psychologique : événement traumatique (deuil, rupture), relation médecin-malade. La psychologie médicale devrait donc être présente aussi bien dans les pratiques les plus banales (en médecine générale) que dans les plus sophistiquées (greffe, cancers, chronicité, approche de la mort, etc.).
L'auteur revient sur toutes les références théoriques qui peuvent être celles de la psychologie médicale : de l'épidémiologie à la psychanalyse en passant par l'œuvre de balint, le cognitivisme, la psychosomatique.
En conclusion, il signe une véritable mise en garde et une recommandation ferme : plus la médecine va continuer à évoluer, plus les problèmes relationnels entre médecin et malade seront complexes ; si elle ne veut pas se déshumaniser, elle doit prendre en compte la dimension psychologique dans sa réflexion et dans sa pratique, il convient d'y préparer les médecins de demain.
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