- EAN13
- 9782809823363
- Éditeur
- Archipel
- Date de publication
- 18/10/2017
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782809823363
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
14.99
De plus en plus gloutons ! Qu'est-ce qui pousse les dirigeants de nos grandes
entreprises, déjà fortunés, à en vouloir toujours plus ?En 2016, Carlos Ghosn
a touché 15,4 millions d'euros : une rémunération double car il est à la fois
PDG de Renault et de Nissan. Olivier Brandicourt a été accueilli avec un bonus
de 4 millions d'euros chez Sanofi où 600 postes ont été supprimés en France en
cinq ans. Michel Combes a quitté Alcatel-Lucent avec 7,9 millions d'euros de
primes ; sous son " règne ", il y a eu 10 000 suppressions d'emplois.Salaires
dopés aux actions gratuites, boni et retraites chapeau... : en période de
réductions des coûts, de coupes dans les effectifs, de délocalisations,
d'inflation quasi nulle, nombre de dirigeants reçoivent une rémunération deux
cents fois supérieure à celle de leurs salariés. Et les protestations des
actionnaires ou de l'AMF (Autorité des marchés financiers) n'y changent rien
!Cette enquête révèle le vrai salaire des patrons du CAC 40 et des membres de
leur conseil d'administration, les comparant avec ceux des dirigeants
allemands, suisses ou américains. Un plaidoyer pour plus d'équité et de
transparence.
entreprises, déjà fortunés, à en vouloir toujours plus ?En 2016, Carlos Ghosn
a touché 15,4 millions d'euros : une rémunération double car il est à la fois
PDG de Renault et de Nissan. Olivier Brandicourt a été accueilli avec un bonus
de 4 millions d'euros chez Sanofi où 600 postes ont été supprimés en France en
cinq ans. Michel Combes a quitté Alcatel-Lucent avec 7,9 millions d'euros de
primes ; sous son " règne ", il y a eu 10 000 suppressions d'emplois.Salaires
dopés aux actions gratuites, boni et retraites chapeau... : en période de
réductions des coûts, de coupes dans les effectifs, de délocalisations,
d'inflation quasi nulle, nombre de dirigeants reçoivent une rémunération deux
cents fois supérieure à celle de leurs salariés. Et les protestations des
actionnaires ou de l'AMF (Autorité des marchés financiers) n'y changent rien
!Cette enquête révèle le vrai salaire des patrons du CAC 40 et des membres de
leur conseil d'administration, les comparant avec ceux des dirigeants
allemands, suisses ou américains. Un plaidoyer pour plus d'équité et de
transparence.
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